| Le challenge automobile sur glace de Sherbrooke |  |
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Les formules T3F |
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Les prototypes se dépouillent rapidement pour
en faciliter l'entretien. Bien que leurs carrosseries ressemblent aux voitures de série européenne, les T3F n'ont presqu'aucune pièce originale, à l'exception des phares et des rétroviseurs. |
Les populaires pilotes Patrick Carpentier, René Arnoux et Patrick Tambay partagent le même volant. Malheureusement, leur monture a dû rester quelques manches dans l'enclos pour qu'on puisse réparer la mécanique que Carpentier, peu habitué à ce genre de véhicule, a endommagée dès le début de l'épreuve. |
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Les mécaniciens travaillent rapidement pour ramener la voiture en piste. Ce qui nous donne la chance d'observer le V6 Opel de 3.3L, qui développe une puissance d'environ 450ch à 7000 tr/m. La fédération permet une cylindrée de 3.5L pour les moteurs atmosphériques et 2L pour les moteurs turbo. |
Leur châssis est tubulaire et plusieurs autres pièces sont faites en carbone ou dans un alliage léger qui réduit considérablement le poids des voitures. Le minimum est de 950 kg pour les voitures équipées de moteur entre 2L et 3.5L et est de 850 kg pour les moins de 2L. |
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La traction doit obligatoirement être intégrale (4 roues motrices). Certaines possèdent 4 roues directionnelles (interdites pour la course de Sherbrooke). |
La gomme est fournie par le commanditaire officiel, Michelin. Ce sont des pneus cloutés de 10/66x16. Ils sont très étroits, seulement 17 cm de largeur, pour mettre le maximum de poids sur la glace et sur leurs 216 clous. |
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©FD Février 2002